sans titre
Lorsque la
nature puise la force de plonger dans l'oubli,
j'entre nu
dans ce rêve aux conséquences irrémédiables.
Ces bras ne
sont pas faits pour prier,
cette tête
n'a pas de raison de durer.
C'est
un amour supérieur qui me tord le cœur
c'est
une plaine enneigée où règne le froid âpre
du
Prince et des mendiants
quant
à vous,
vous
serez la Princesse de Corvisart.
Sous
la rétine immense qui m'observe,
dans
cette vie qui me demande de mourir,
dans
quel pays demanderais je l'exil
diplomatique
et synthétique.
Car tout se résume à une peine,
tout soudain s’enfuit, tout s’élève.
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